14.09.2020
Article infosantésuisse
Le Groupe Mutuel propose une nouvelle application pour les personnes qui veulent avoir une influence sur leur santé : l’application MyHealthCheck installée sur leur téléphone portable leur permet d’établir ellesmêmes un diagnostic à distance en cas de troubles bénins, tout en leur évitant de se rendre inutilement chez le médecin.
10.09.2020
Article infosantésuisse
santésuisse va procéder dans les prochaines années à des investissements massifs dans l’échange électronique des données de santé. D’ici fin 2023, l’association souhaite ainsi numériser les processus administratifs de bout en bout, de la prescription d’un traitement à la clôture du cas avec facturation. Pour instaurer une connexion optimale des différents acteurs, santésuisse mise sur le standard SHIP, opérationnel depuis octobre 2019.
09.09.2020
Article infosantésuisse
La crise du coronavirus l’a montré: en matière de numérisation, des progrès restent à faire dans le domaine de la santé. Le fax n’a pas encore disparu et le transfert de données sûr et fiable n’est toujours pas à l’ordre du jour, contrairement à ce qui se passe à l’étranger. Les assureurs-maladie vont de l’avant en investissant dans des processus simplifiés et numérisés au fonctionnement convivial et sécurisé. Dans d’autres secteurs, c’est beaucoup plus compliqué. Ainsi, une majorité de médecins ne sont pas prêts à gérer les dossiers médicaux de leurs patients par voie électronique.
08.10.2018
Article infosantésuisse
La phase de test en vue de la numérisation des processus administratifs entre les partenaires tarifaires est terminée. Le standard de communication ouvert «SHIP» est dès à présent à disposition de tous les hôpitaux, assureurs-maladie et administrations cantonales intéressés.
11.09.2018
Consultation
n'existe qu'en allemand
Dans sa prise de position sur la consultation pour la connexion d’applications mobiles de cybersanté au dossier électronique du patient (DEP), santésuisse approuve fondamentalement que les standards et normes internationaux établis ou en cours d’établissement servent d’orientation. Il convient toutefois de s’interroger sur la priorité à accorder à l’heure actuelle à la connexion des données des patients au DEP via des applications et enregistreurs mobiles ainsi que des dispositifs électroniques intégrés au textile. En effet, le bénéfice médical de la plupart de ces applications de cybersanté pour les médecins assurant la prise en charge ultérieure du patient (pertinence pour le traitement) reste encore flou. Du point de vue de santésuisse, il faut en particulier tenir compte également des répercussions financières potentielles découlant des exigences élevées de ces applications de cybersanté (p. ex. qualité, fiabilité, sécurité et protection des données etc.) et les mettre en relation avec le bénéfice médical réel démontrable.
31.08.2018
Communiqué
santésuisse salue la décision de la Commission de la santé du Conseil national de limiter, sous certains conditions, l’admission des médecins. Une gestion des admissions consé-quente et adaptée à l’ensemble du pays permettra de freiner la hausse des primes.
15.12.2017
Consultation
santésuisse salue l’orientation fondamentale de la « Stratégie Cybersanté 2.0 ». La numérisation doit contribuer à améliorer la qualité, la sécurité et l’efficacité du système de santé de même que promouvoir l’approvisionnement en soins coordonné et l’interprofessionnalité. Toutefois, le potentiel de la numérisation dans le système de santé va bien au-delà de la définition étroite de la cybersanté présentée dans la stratégie. santésuisse regrette l’absence d’une analyse des besoins des utilisateurs, ainsi que des évolutions et des tendances. Les économies de coûts promises avec l’utilisation du dossier électronique du patient (DEP) doivent être comparées aux dépenses générées au niveau de la Confédération, des cantons, des fournisseurs de prestations et d’autres acteurs ; par ailleurs, les incidences sur les primes des assurés doivent être mises en évidence.
N'existe qu'en allemand
24.10.2017
Consultation
n'existe qu'en allemand
santésuisse soutient l’introduction de formats d’échange électroniques dans le cadre du dossier électronique du patient (DEP). Les formats d’échange favorisent le traitement rapide, efficace et largement automatisé des données et informations dans les domaines des vaccinations, des médicaments et des analyses de laboratoire. Ils contribuent ainsi de manière prépondérante à améliorer la prévention en matière de vaccinations ainsi qu’à augmenter la sécurité, la qualité et l’efficacité du diagnostic ainsi que du traitement. En revanche, santésuisse ne comprend pas pourquoi le numéro d’identification du patient défini à l’article 4 LDEP, spécialement créé dans le contexte du DEP, ne peut être utilisé. L’absence d’indication claire du numéro d’identification du patient à utiliser est contraire aux principes de standardisation des formats d’échange électroniques. Des risques de confusions ou de conflits de données peuvent en résulter en cas de numéros d’identification différents.
01.06.2017
Article infosantésuisse
Le cadre légal et les conditions en vue de l’introduction du dossier électronique du patient (DEP) sont en place. Après l’adoption par le Conseil fédéral, en mars dernier, des ordonnances correspondantes, la Loi fédérale sur le dossier électronique du patient (LDEP) est entrée en vigueur à la mi-avril 2017 avec les dispositions d’exécution afférentes. Les hôpitaux seront tout d’abord à la manœuvre puisqu’ils doivent introduire le DEP dans un délai de trois ans. Les EMS et les maisons de naissance disposent d’un délai de cinq ans. En revanche, la tenue du dossier électronique du patient est facultative pour les fournisseurs de prestations ambulatoires, autrement dit les médecins, pharmaciens, sages-femmes ou chiropraticiens. Les assureurs-maladie n’ont aucun accès aux données des patients.
01.06.2017
Article infosantésuisse
«EPatient Survey» **, la plus grande enquête en ligne sur la santé numérique, a été réalisée pour la sixième fois en Suisse au printemps 2017. Les résultats sont riches d’enseignements: même si les personnes sont toujours plus nombreuses à utiliser des applications de santé, elles ne tardent pas à interrompre leur «traitement» au bout de quelques semaines seulement. Il s’avère également que, face à la diversité des applications, les utilisateurs souhaitent être renseignés et guidés par leur assureur-maladie, tout en hésitant à partager leurs données médicales avec celui-ci.
01.06.2017
Article infosantésuisse
Le «Forum des assureurs-maladie» fait partie des manifestations annuelles organisées par santésuisse. Chaque printemps, les dirigeants des membres de l’association se rencontrent pour un échange entre experts sur un sujet actuel. En point de mire cette année, les chances et les risques de la numérisation pour les assureurs-maladie.
01.02.2017
Article infosantésuisse
En 2016, 450 millions de francs ont été facturés au moyen de la position TARMED 00.00140 «Prestations en l’absence du patient», avec une tendance à la hausse. santésuisse demande que les prestations non vérifiables soient à l’avenir incluses dans des forfaits.
01.02.2017
Article infosantésuisse
Un point inscrit au programme des prochaines journées «Trendtage Gesundheit Luzern (TGL)» pourrait bien intéresser tout particulièrement les fournisseurs de prestations et les assureurs-maladie. Il s’agit de l’exposé du Professeur Marcel Salathé* sur l’utilisation des données numériques des patients pour la recherche médicale. En vue de ce prochain congrès, infosantésuisse a abordé ce sujet controversé avec le professeur de l’EPF de Lausanne.