08.09.2020
Consultation
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Les intermédiaires douteux sont une nuisance pour la population. Afin d’y remédier, santésuisse encourage l’introduction d’une réglementation déclarée obligatoire pour toute la branche. Dès lors, santésuisse accueille favorablement le projet de loi fédérale sur la réglementation de l’activité des intermédiaires d’assurance. Par les modifications qu’il apporte à la loi sur la surveillance de l’assurance-maladie et à la loi sur la surveillance des assurances, le Conseil fédéral accède largement aux demandes formulées par santésuisse, lesquelles sont également ancrées dans la nouvelle convention de branche. Cette dernière réglemente la qualité des entretiens de conseil et l’indemnisation des intermédiaires dans le démarchage des clients. Ces dispositions doivent par ailleurs être déclarées obligatoires pour toute la branche. La convention entre en vigueur début 2021. Il est important que la règlementation prévue n’entraîne ni alourdissement inutile des charges administratives ni incertitude juridique. La possibilité de prononcer une double sanction à l’encontre des assureurs doit notamment être évitée.
26.03.2019
Consultation
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santésuisse se réjouit que la FINMA assume la responsabilité des intermédiaires indépendants dans le cadre de la modification de la loi sur la surveillance des assurances (LSA) proposée par le Conseil fédéral. Toutefois, la distinction entre intermédiaires non liés et intermédiaires liés devrait être plus claire. santésuisse estime également que les intermédiaires liés doivent pouvoir continuer à s’inscrire au registre public des intermédiaires d’assurance de la FINMA, notamment pour des questions de qualité publique. La LSA fixe désormais les exigences en matière de qualification professionnelle des intermédiaires d'assurance; santésuisse approuve expressément ces mesures qualitatives et demande en outre que la LSA impose aux intermédiaires de suivre une formation continue permanente.
22.02.2019
Consultation
Les assureurs-maladie ne sont pas concernés par la modification de la loi AVS. L’utilisation du numéro AVS est réglée pour eux dans la loi sur l’assurance-maladie (LAMal) et la loi sur la surveillance de l’assurance-maladie sociale (LSAMal). Le projet de loi prévoit désormais une autorisation générale pour les « autorités » d'utiliser systématiquement le NAVS. Cela rend superflue une base juridique spéciale pour les autorités. Les assureurs maladie n'entrent pas dans le champ d'application du terme « autorités ».
12.02.2019
Consultation
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Dans la proposition de l’OFSP relative au droit d’exécution de la loi fédérale sur les professions de la santé, santésuisse salue tout particulièrement l’introduction d’un registre des professions de la santé (registre LPSan ou GesReg) avec une sauvegarde centralisée et une gestion continue des données concernant les groupes de personnes titulaires d’un diplôme. L'utilisation de l'interface standard à des fins de synchronisation automatique des données est d'intérêt public et devrait donc être gratuite.
03.05.2018
Consultation
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santésuisse considère qu’une commission ne doit pas avoir la compétence de décider qui, en tant que lobbyiste ou personne privée, peut rendre visite à un ou une parlementaire au Parlement fédéral. Une exclusion générale de certains intérêts n’aurait selon santésuisse aucun sens, car il existe de nombreuses autres possibilités pour contacter les élus du peuple. Ce qui importe, c’est de garantir l’égalité de traitement de tous les intérêts et de leurs représentantes et représentants qui sont directement concernés par un projet.