21.12.2018
Consultation
n'existe qu'en allemand
santésuisse soutient pour l’essentiel le premier volet de mesures du Conseil fédéral pour réduire la hausse des coûts de la santé. Mais des adaptations s’imposent pour que cet objectif puisse réellement être atteint.
02.11.2018
Consultation
santésuisse rejette la proposition du DFI pour l'adaptation de l’ordonnance concernant les contributions aux soins et la détermination des besoins en soins. L'assurance-maladie obligatoire (OKP) contribue avec un montant fixe aux coûts des soins, la participation des patients est clairement définie et limitée à un maximum et les cantons prennent en charge le reste du financement. santésuisse ne voit donc aucun avantage à baisser les taux de contribution pour les soins ambulatoires tout en les augmentant pour les soins hospitaliers. L'adaptation des taux de contribution prévue à l'art. 7a OPAS est également contraire à la volonté du législateur et viole le principe de la neutralité des coûts conformément à la LAMal. L'adaptation proposée par le DFI ferait peser une charge supplémentaire de près de 100 millions de francs sur les assurés. Or l’assurance-maladie prend déjà en charge l'essentiel des coûts des soins de longue durée.
santésuisse rejette également la proposition du DFI d’élargir les compétences du personnel infirmier car il y a lieu de craindre une augmentation du volume des prestations. Lors de sa séance du 9 mars 2018, le Conseil fédéral s'est prononcé en faveur du rejet de l'initiative populaire « Pour des soins infirmiers forts (initiative soins infirmiers) ». santésuisse refuse donc d'introduire des éléments centraux de l'initiative par voie d’ordonnance avant que le Parlement et les électeurs aient eu la possibilité de s'exprimer.
12.09.2018
Mise au point
Jeter les bases du financement uniforme des prestations ambulatoires et stationnaires - En finir avec la « Chirurgie occasionnelle » - Plafonnement souhaité
21.08.2018
Communiqué
Pendant des années, les payeurs de primes ont financé du matériel de soins bien qu'ils n’étaient pas tenus de le faire en vertu de la loi. C'est pourquoi le Tribunal administratif fédéral (TAF) a récemment jugé que cette pratique n’était pas admissible. Les assureurs-maladie ont donc adressé des demandes de remboursement aux EMS. Malheureusement sans succès puisqu’ils doivent maintenant exiger ces remboursements devant les tribunaux.
09.10.2017
Consultation
N'existe qu'en allemand:
santésuisse considère que l’état des lieux et la planification des besoins sont compréhensibles et réalistes. Le rapport ne précise toutefois pas comment la planification a été coordonnée avec les cantons voisins de Berne et Vaud, ni ne contient d’indications sur le taux d’occupation des lits dans les établissements de soins de longue durée du canton et hors canton. Selon les chiffres de l’OFS, le taux d’occupation des lits dans les EMS du canton voisin de Berne est nettement plus bas que dans le canton de Fribourg. Une collaboration intercantonale pourrait s’avérer judicieuse.
01.10.2017
Article infosantésuisse
Le Tribunal administratif fédéral (TAF) a rendu un arrêt important, attendu de longue date, le 1 er septembre 2017. Il s’agissait de déterminer si les établissements médico-sociaux (EMS) pouvaient facturer le matériel de soins utilisé pour les soins prodigués à leurs résidents en plus des montants forfaitaires pris en charge par les assureurs-maladie. tarifsuisse sa, qui représente plus de cinquante caisses-maladie, avait déposé un recours auprès du TAF. Ce dernier vient de donner raison aux assureurs-maladie.
21.03.2017
Consultation
n'existe qu'en allemand
santésuisse soutient la révision de la loi sur les soins infirmiers, qui englobe essentiellement les éléments suivants:
1) le financement des soins et de la prise en charge des pensionnaires des homes et des EMS nécessitant des soins et/ou une prise en charge particulièrement intensifs,
2) toutes les communes doivent faire partie d’une région de planification,
3) le système d’évaluation des besoins passe de 16 à 12 échelons de soins.
01.09.2016
Consultation
n'existe qu'en allemand
Die Annahmen, die der Kanton trifft, sowie die daraus gezogenen Rückschlüsse und Umsetzungspläne sind aus Sicht von santésuisse nachvollziehbar und folgerichtig. santésuisse verzichtet deshalb auf eine weitergehende detaillierte Stellungnahme.
30.05.2016
Consultation
n'existe qu'en allemand
Aufgrund der demographischen Entwicklung ergibt sich in der Pflegeheimplanung Handlungsbedarf. santésuisse unterstützt das vom Regierungsrat bevorzugte Szenario B, das eine verstärkte Pflege zu Hause vorsieht. Mit der vorgeschlagenen Gleichbehandlung der Pflege von Menschen mit Behinderung und von Menschen in Pflegeheimen findet eine Kostenverlagerungen vom Kanton Richtung KVG und Gemeinden statt. Die Kostenverlagerung ist für die Versicherer und Versicherten problematisch. Sie wird sich negativ auf die Prämien auswirken und bringt keinen erkennbaren Gegennutzen. Die Frage der Abgrenzung zwischen IV und KVG für Institutionen auf der Pflegeheimliste findet nicht statt.
30.11.2015
Consultation
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30.11.2015
Communiqué
Ceux qui ont recours à des prestations de soins dans un autre canton que leur canton de résidence doivent à l’avenir savoir avec certitude quel canton se porte garant du financement résiduel. La Commission de la sécurité sociale et de la santé du Conseil des Etats (CSSS-CE) propose une modification correspondante de la loi sur l’assurance-maladie (LAMal). santésuisse salue cette proposition.
19.11.2015
Consultation
Ce texte n'existe qu'en allemand
16.09.2015
Consultation
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30.06.2015
Consultation
n'existe qu'en allemand
13.05.2015
Exposé
Rezepte für ein besseres und effizienteres Gesundheitswesen
Nationalrat Heinz Brand, Präsident santésuisse
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