11.04.2022
Communiqué
Le canton de Nidwald et tarifsuisse sa, filiale de santésuisse, ont trouvé un accord sur la rémunération du matériel de soins pour les années 2015 à 2017. Le canton de Nidwald va en l’occurrence participer aux coûts des sept EMS de Nidwald avec une participation forfaitaire de 250'000 francs. En contrepartie, les assureurs-maladie font des concessions au canton. Un accord à l’amiable a donc pu être trouvé avec les EMS du canton du Nidwald, représentés par Curaviva Nidwald, afin de solder ce reliquat du passé. Entre temps, une solution a pu être trouvée avec trois cantons. tarifsuisse sa attend que d’autres cantons leur emboîtent le pas et assument leur responsabilité en tant que garants du financement résiduel.
09.10.2020
Consultation
santésuisse approuve la planification des EMS du canton de Zoug pour la période allant de 2021 – 2025. Pour les cinq prochaines années, le Conseil d’Etat s'abstient, à raison, d'augmenter le nombre de lits de soins et partant
n'existe qu'en allemand
de créer des surcapacités inutiles. Il fonde sa décision sur la prévision des besoins de l'Observatoire suisse de la santé (Obsan). En revanche, il n’a pas saisi la possibilité de tenir compte, dans son projet, des flux intercantonaux de patients ou des éventuels potentiels de coordination avec d'autres cantons au sens d’une planification suprarégionale, laquelle conduirait à une plus grande efficacité des soins.
02.06.2020
Article Mise au point
Dans les années à venir, l’évolution démographique entraînera une hausse des besoins en prestations de soins. La politique en la matière doit donc se concentrer sur la sécurité de l’approvisionnement à long terme. Mettre l’accent uniquement sur les infirmiers diplômés ne résoudra pas le problème.
28.05.2020
Mise au point
Compétences clairement définies - Oui à un frein aux coûts - Défi démographique
22.04.2020
Article infosantésuisse
Trois solutions informatiques différentes sont actuellement utilisées pour
déterminer les besoins en soins dans les établissements médico-sociaux
suisses. Cette disparité provoque une inégalité de traitement des patients
ainsi que des coûts supplémentaires injustifiés pour les payeurs de prime.
Il devient donc urgent d’harmoniser le système.
26.03.2020
Consultation
Du point de vue des coûts globaux, santésuisse se réjouit du transfert prévu des cas de soins légers des EMS vers le secteur ambulatoire. Le rapport ne présente pas l'impact financier de l’adaptation au 1er janvier 2020 des contributions aux EMS et organisations d’aide et de soins à domicile / infirmiers. En outre, la prévision des besoins et la planification des lits correspondants devraient tenir compte du fait que les personnes âgées restent indépendantes de plus en plus longtemps et qu'elles ont besoin plus tard d'aide et de soins. En outre, il convient de présenter un éventuel potentiel de coordination de l'offre de lits avec d'autres cantons, en l’occurrence le canton de Berne.
04.09.2019
Consultation
santésuisse salue la nouvelle loi sur les soins et l'assistance.
N'existe qu'en allemand
21.12.2018
Consultation
n'existe qu'en allemand
santésuisse soutient pour l’essentiel le premier volet de mesures du Conseil fédéral pour réduire la hausse des coûts de la santé. Mais des adaptations s’imposent pour que cet objectif puisse réellement être atteint.
02.11.2018
Consultation
santésuisse rejette la proposition du DFI pour l'adaptation de l’ordonnance concernant les contributions aux soins et la détermination des besoins en soins. L'assurance-maladie obligatoire (OKP) contribue avec un montant fixe aux coûts des soins, la participation des patients est clairement définie et limitée à un maximum et les cantons prennent en charge le reste du financement. santésuisse ne voit donc aucun avantage à baisser les taux de contribution pour les soins ambulatoires tout en les augmentant pour les soins hospitaliers. L'adaptation des taux de contribution prévue à l'art. 7a OPAS est également contraire à la volonté du législateur et viole le principe de la neutralité des coûts conformément à la LAMal. L'adaptation proposée par le DFI ferait peser une charge supplémentaire de près de 100 millions de francs sur les assurés. Or l’assurance-maladie prend déjà en charge l'essentiel des coûts des soins de longue durée.
santésuisse rejette également la proposition du DFI d’élargir les compétences du personnel infirmier car il y a lieu de craindre une augmentation du volume des prestations. Lors de sa séance du 9 mars 2018, le Conseil fédéral s'est prononcé en faveur du rejet de l'initiative populaire « Pour des soins infirmiers forts (initiative soins infirmiers) ». santésuisse refuse donc d'introduire des éléments centraux de l'initiative par voie d’ordonnance avant que le Parlement et les électeurs aient eu la possibilité de s'exprimer.